
Réconciliation
Les jeunes conseillers autochtones de TELUS aident à créer des ponts
26 juin 2025
(Dessus) Rangée du haut (de gauche à droite) : Clint Davis, James Delorme, Christy Morgan, Shaun Soonias, Magnolia Perron, Stephanie Han, Kim van der Woerd. Absents : Shak Gobért, Shazia Zeb Sobani, Luc Lainé, Marissa Nobauer, et Sean Willy
À TELUS, nous croyons au pouvoir de la diversité des voix et des perspectives, surtout lorsqu’il s’agit de façonner notre avenir. Aujourd’hui, nous avons le plaisir de vous présenter deux personnes remarquables qui se sont jointes au comité consultatif autochtone en tant que représentants des jeunes : Magnolia Perron et Shadrak (Shak) Gobért. Magnolia siège au comité depuis 2023 et Shak s’y est joint plus tôt cette année. Leurs expériences et leurs perspectives uniques nous aident à orienter notre démarche de réconciliation et à favoriser l’entrepreneuriat autochtone.
Mettre en valeur différents horizons
Magnolia Perron, qui vient du territoire mohawk de Tyendinaga, dans la baie de Quinte, en Ontario, a des origines mohawks, canadiennes-françaises et juives ashkénazes. Forte d’une formation en psychologie et en politique autochtone, Magnolia travaille maintenant à
l’Association nationale des sociétés autochtones de financement
(ANSAF), où elle soutient les femmes et les jeunes autochtones en entrepreneuriat.Shak Gobért, de la Première Nation de Frog Lake, située sur le territoire visé par le Traité no 6 en Alberta et à 200 kilomètres à l’est d’Edmonton, possède une vaste expérience en TI et en technologie. Son parcours l’a amené à créer sa propre entreprise technologique autochtone,
Peyak
, qui se concentre sur des produits de réalité augmentée qui intègrent la culture et les enseignements autochtones.L'importance de la voix des jeunes
Les populations autochtones sont parmi les plus jeunes au Canada, c’est pourquoi leur représentation au sein du processus décisionnel est indispensable, selon Magnolia et Shak. Les aînés qui ont guidé l’élaboration de notre plan d’action pour la réconciliation ont également souligné que le point de vue des jeunes est essentiel à notre stratégie.
« La grande majorité de notre population est âgée de moins de 35 ans. Nous considérons donc les jeunes en général comme un élément important de nos collectivités », a déclaré Shak.
Selon les dernières données de Statistique Canada, 41,2 % des Autochtones ont moins de 25 ans, comparativement à 27,3 % de la population allochtone.
Les deux conseillers insistent sur le fait que la représentation des jeunes ne consiste pas seulement à inclure un jeune dans la discussion pour la forme. Il s’agit de reconnaître les précieuses idées, les nouvelles perspectives et la compréhension culturelle que les jeunes leaders autochtones apportent aux discussions sur la réconciliation, le développement économique et le mieux-être des collectivités.
Magnolia souligne également les incidences positives importantes de la représentation des jeunes. « Il y a une sorte d’effet d’entraînement lorsque les jeunes occupent des postes de direction. Nous ne savons pas qui s’intéresse à ce que nous faisons, n’est-ce pas? D’une certaine manière, nous devenons des modèles pour les autres jeunes de nos collectivités. »
« La grande majorité de notre population est âgée de moins de 35 ans. Nous considérons donc les jeunes en général comme un élément important de nos collectivités », a déclaré Shak.
Selon les dernières données de Statistique Canada, 41,2 % des Autochtones ont moins de 25 ans, comparativement à 27,3 % de la population allochtone.
Les deux conseillers insistent sur le fait que la représentation des jeunes ne consiste pas seulement à inclure un jeune dans la discussion pour la forme. Il s’agit de reconnaître les précieuses idées, les nouvelles perspectives et la compréhension culturelle que les jeunes leaders autochtones apportent aux discussions sur la réconciliation, le développement économique et le mieux-être des collectivités.
Magnolia souligne également les incidences positives importantes de la représentation des jeunes. « Il y a une sorte d’effet d’entraînement lorsque les jeunes occupent des postes de direction. Nous ne savons pas qui s’intéresse à ce que nous faisons, n’est-ce pas? D’une certaine manière, nous devenons des modèles pour les autres jeunes de nos collectivités. »
Favoriser l’entrepreneuriat autochtone
Un fil conducteur dans le travail des deux conseillers est l’accent mis sur l’entrepreneuriat autochtone comme voie vers l’autodétermination. Les produits de réalité augmentée de Shak brisent les stéréotypes et mettent en valeur la culture autochtone de manière innovante. Ils font le pont entre les connaissances traditionnelles et les technologies de pointe et permettent aux utilisateurs d’interagir avec les enseignements culturels de façon inédite et captivante.
« Nous pouvons fusionner notre culture, nos enseignements et nos langues avec ces formidables technologies de réalité augmentée et virtuelle, 3D et spatiales, et plus encore », dit-il.
Le travail de Magnolia à l’ANSAF cadre avec cette vision : « Je considère l’entrepreneuriat comme un moyen d’autodétermination pour les peuples autochtones, les collectivités autochtones et les nations en général. Investir dans les entreprises autochtones n'est pas seulement un bon investissement, c'est aussi un investissement intelligent. Il permet aux gens de répondre à des besoins dans leurs collectivités qui sont souvent non satisfaits, tout en créant de nouvelles possibilités de croissance et d'innovation. »
« Nous pouvons fusionner notre culture, nos enseignements et nos langues avec ces formidables technologies de réalité augmentée et virtuelle, 3D et spatiales, et plus encore », dit-il.
Le travail de Magnolia à l’ANSAF cadre avec cette vision : « Je considère l’entrepreneuriat comme un moyen d’autodétermination pour les peuples autochtones, les collectivités autochtones et les nations en général. Investir dans les entreprises autochtones n'est pas seulement un bon investissement, c'est aussi un investissement intelligent. Il permet aux gens de répondre à des besoins dans leurs collectivités qui sont souvent non satisfaits, tout en créant de nouvelles possibilités de croissance et d'innovation. »
La voie de la réconciliation
Les deux conseillers soulignent l’importance d’un engagement continu en faveur de la réconciliation. « Nous avons plus que jamais besoin d’alliés », affirme Magnolia. « Les alliés efficaces apportent leur soutien en faisant de l’écoute active, en s’éduquant, déchargeant les Autochtones de la responsabilité de faire tout le travail de base en matière de sensibilisation, et en défendant les droits des Autochtones. »
Croissance personnelle et Impact
Le rôle de membre du comité consultatif autochtone de TELUS a été une occasion de croissance pour Magnolia et Shak. Comme le mentionne Magnolia : « J’ai l’impression que c’est très réciproque dans le sens où j’apprends aussi beaucoup. Le fait de pouvoir écouter ce que [les autres conseillers] ont à dire et d’apprendre de leur riche expérience et de leur expertise est incroyablement spécial. »
À TELUS, nous sommes déterminés à amplifier les voix autochtones et à établir des relations axées sur la réciprocité. Les jeunes conseillers acquièrent de l’expérience au sein de conseils d’administration d’entreprise tout en offrant des renseignements importants propres à leur génération qui continueront d’influencer la manière dont nous faisons évoluer et mettons en œuvre nos engagements en matière de réconciliation.
En incluant les jeunes conseillers comme Shak et Magnolia au sein du comité consultatif autochtone, non seulement nous enrichissons nos processus décisionnels, mais nous investissons dans les futurs leaders des collectivités autochtones.
Nous nous réjouissons des conseils et des nouvelles perspectives que Shak et Magnolia apporteront à nos efforts et à nos initiatives de réconciliation visant à soutenir les collectivités autochtones partout au Canada.
À TELUS, nous sommes déterminés à amplifier les voix autochtones et à établir des relations axées sur la réciprocité. Les jeunes conseillers acquièrent de l’expérience au sein de conseils d’administration d’entreprise tout en offrant des renseignements importants propres à leur génération qui continueront d’influencer la manière dont nous faisons évoluer et mettons en œuvre nos engagements en matière de réconciliation.
En incluant les jeunes conseillers comme Shak et Magnolia au sein du comité consultatif autochtone, non seulement nous enrichissons nos processus décisionnels, mais nous investissons dans les futurs leaders des collectivités autochtones.
Nous nous réjouissons des conseils et des nouvelles perspectives que Shak et Magnolia apporteront à nos efforts et à nos initiatives de réconciliation visant à soutenir les collectivités autochtones partout au Canada.