People on a boat fishing for crabs

Environnement

Le Fonds pollinisateur de TELUS pour un monde meilleur contribue à l’éclosion des jeunes pousses novatrices

27 mai 2022
(Dessus) Le Fonds pollinisateur de TELUS pour un monde meilleur a investi dans Tidal Vision, une entreprise qui utilise des carapaces broyées et des sous-produits du crabe issus de la pêche durable pour créer des solutions écologiques à base de chitosane.
Quand on interroge les Canadiens sur les défis les plus urgents à relever, beaucoup citent d’abord la protection de l’environnement, l’amélioration des soins de santé, le passage à une agriculture responsable, ainsi que la création de collectivités habitables et inclusives.
Mais nettoyer les océans et sauver les abeilles ne ferait pas de mal.
Aujourd’hui, des entreprises visionnaires, à l’écoute et sensibles à toutes ces préoccupations, investissent dans de jeunes pousses novatrices qui explorent de nouveaux moyens de créer un avenir meilleur et plus propre.
Telle est la philosophie à l’origine du Fonds pollinisateur de TELUS pour un monde meilleur. Doté d’un budget de 100 millions de dollars et comptant parmi les plus importants fonds à vocation sociale de la planète, il a déjà investi au cours de sa première année d’existence près de 20 millions de dollars dans 10 petites entreprises responsables et durables. Précisant que 40 pour cent de ces jeunes pousses à but lucratif sont dirigées par des femmes, et 50 pour cent par des Autochtones ou des personnes racisées, Blair Miller, l’associé directeur du Fonds pollinisateur, explique que ce dernier permet aux jeunes pousses concernées d’avoir accès aux compétences, à l’expertise et au financement nécessaires à leur croissance.
Il poursuit : « Le président et chef de la direction de TELUS, Darren Entwistle, est convaincu que pour réussir en tant qu’entreprise, il nous faut contribuer au mieux-être des collectivités que nous servons et au sein desquelles nous vivons et travaillons. Le Fonds pollinisateur de TELUS pour un monde meilleur investit dans de jeunes pousses déterminées à stimuler l’innovation et à trouver des solutions pour bâtir un monde meilleur. »

Vague d’innovations au profit des océans

Le Fonds pollinisateur a investi dans Tidal Vision, une jeune pousse basée à Bellingham, dans l’État de Washington, qui compte aussi des installations au large des côtes de la Caroline du Sud. L’entreprise achète des carapaces et d’autres sous-produits du crabe issus de la pêche durable pour produire des solutions écologiques à base de chitosane. Substitut aux produits chimiques synthétiques non biodégradables, ces solutions entièrement naturelles sont utilisées à des fins très diverses, allant du traitement des textiles à celui de l’eau.
Le président et directeur général de Tidal Vision, Craig Kasberg, se félicite des dernières données touchant la croissance de l’entreprise :
« Nous sommes passés d’une technologie cantonnée aux laboratoires à la production de plus de 1 000 tonnes métriques de chitosane liquide par mois, et nos installations de production situées sur les côtes ouest et est s’étalent sur plus de 84 000 pieds carrés, précise-t-il. Nous connaissons une croissance très rapide. Le chitosane recèle un énorme potentiel. »
Ce qu’il manque à la stratégie climatique du Canada est une politique sur le numérique qui ferait du pays un chef de file de l’action climatique.
C’est entre autres notamment parce que ses solutions changent la donne que Tidal Vision a attiré l’attention du Fonds pollinisateur, comme l’explique M. Miller : « Plus de deux milliards de litres d’eau de pluie et d’eaux usées sont traités chaque mois avec ses produits. Si Tidal Vision nous intéresse, c’est que ses solutions ont déjà des retombées bénéfiques, qui ne mettront pas 10 ans à se faire sentir. Sa croissance en témoigne et nous réjouit. »
Aux États-Unis, par exemple, les fabricants de voitures utilisent ses produits pour traiter les fibres textiles des véhicules qui sortent chaque jour de leurs usines.
En plus de contribuer à la dépollution de l’environnement et à la réduction des déchets, Tidal Vision permet à ses partenaires qui pratiquent une pêche durable d’écouler des sous-produits jadis invendables, ce qui est un plus dans le rude secteur où ils évoluent. Et les choses ne vont pas s’arrêter là.
Selon M. Kasberg, les investissements du Fonds pollinisateur de TELUS vont permettre à l’entreprise de passer de 35 à 60 employés d’ici la fin de l’année, d’acheter de l’équipement additionnel, ainsi que d’augmenter son budget de recherche-développement. Il est convaincu que le secteur de l’agriculture recèle pour elle d’énormes occasions, qu’elle pourra saisir grâce à l’aide et aux réseaux de TELUS.
M. Kasberg se félicite de la croissance rapide exponentielle de Tidal Vision et du fait que, comme le montrent les données, le chitosane contribue vraiment à réduire le recours problématique aux pesticides en agriculture.

Incarner le changement que l’on souhaite

Le Fonds pollinisateur de TELUS apporte aussi son appui à Nectar, une entreprise montréalaise qui utilise une technologie de pointe pour aider les apiculteurs à élever des abeilles en meilleure santé. Son outil de suivi par téléphone intelligent, BeeTrack, permet le suivi des ruches tout au long de la saison.
BeeTrack aide les apiculteurs à déterminer si l’emplacement de leurs ruches laisse à désirer ou recèle des pesticides et si la colonie doit être déplacée ou traitée contre les maladies pour survivre.
Le Fonds pollinisateur a également investi dans Nectar, fabricant montréalais d’un outil de suivi par téléphone intelligent appelé BeeTrack, qui aide les apiculteurs à procéder au suivi de leurs ruches tout au long de la saison.
(Dessus) Le Fonds pollinisateur a également investi dans Nectar, fabricant montréalais d’un outil de suivi par téléphone intelligent appelé BeeTrack, qui aide les apiculteurs à procéder au suivi de leurs ruches tout au long de la saison.
Le cofondateur et président-directeur général de Nectar, Marc-André Roberge, s’est intéressé au sort des abeilles dès ses études universitaires en design industriel, avant de devenir lui-même apiculteur.
« Je me suis mis en tête de trouver un moyen de traduire en quelque sorte le langage des abeilles pour comprendre ce qui se passe au sein des colonies », raconte-t-il.
Le maintien de colonies en bonne santé et prospères est vital. Actuellement, un tiers des cultures, qu’il s’agisse de bleuets, de canola ou que sais-je encore, dépendent de la pollinisation par les abeilles. Or, aux États-Unis, le taux de mortalité annuel des colonies d’abeilles atteint actuellement 40 pour cent, alors qu’il n’était jadis que de 15 pour cent. Quand le Fonds pollinisateur de TELUS a manifesté son intérêt pour Nectar, M. Roberge a tout de suite su qu’il avait trouvé un partenaire qui partageait ses valeurs.
« C’est probablement le fonds le plus important qui soit convaincu que l’agriculture se doit d’être durable, et qu’elle le deviendra, précise M. Roberge. On se concentre beaucoup sur les pollinisateurs, mais le problème de la disparition des abeilles est celui de toute la collectivité, ce que le Fonds pollinisateur a parfaitement compris. »
Nectar permet aujourd’hui le suivi de 150 000 ruches et prévoit que ce nombre atteindra bientôt 300 000, ce qui fera d’elle la chef de file du marché.
Compte tenu des succès enregistrés dès la première année d’existence du Fonds pollinisateur de TELUS, M. Miller espère que cela ouvrira la voie à d’autres entreprises désireuses d’investir au profit de technologies durables génératrices de retombées bénéfiques. Il est fier de la contribution du Fonds pollinisateur à l’innovation, et de son effet d’entraînement. En effet, quand TELUS a décidé d’investir dans Nectar, d’autres investisseurs se sont intéressés à cette jeune pousse.
Pour sa part, M. Roberge espère que les échanges et la relation de Nectar avec le Fonds pollinisateur n’en sont qu’à leurs débuts.
« Le changement systémique passe impérativement par l’ouverture de nombreuses portes et par des économies d’échelle. Une petite entreprise comme la nôtre ne peut atteindre seule ses objectifs. Elle a besoin de portes ouvertes, de réseaux et de capitaux pour y parvenir. »
Publireportage préparé par le
Globe Content Studio
en collaboration avec TELUS, sans intervention du service éditorial du Globe and Mail.
Un homme assis sur un rocher dans la nature travaillant sur un ordinateur portable.

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