Rich Osborn dirige TELUS Capital de risque, le fonds de capital de risque d’entreprise de la société de télécommunications canadienne TELUS, à titre d’associé directeur. Le fonds investit dans six secteurs clés : TI pour les soins de santé, Internet des objets, mégadonnées, technologie financière, et sécurité et identité numériques.

En 2019, TELUS Santé a fait l’acquisition de la plateforme de soins de santé virtuels RH/Akira, qui est aujourd’hui en plein essor et joue un rôle essentiel dans le traitement sécuritaire de la COVID-19 à distance, se réjouit M. Osborn.

De plus, TELUS Capital de risque a soutenu le développeur de plateformes pour appartements intelligents Iotas, le développeur de technologies de capteurs Hummingbird Technologies, le développeur de logiciels d’ordonnance GenXys Health Care Systems, le fournisseur de logiciels de gestion de la circulation Miovision, et Beacon, une plateforme consacrée à la santé mentale offrant des thérapies cognitivo-comportementales.

En réponse à la pandémie de COVID-19, TELUS Capital de risque a investi dans la société Ondine en avril 2020. « Ondine est un chef de file mondial dans les thérapies de photodésinfection antimicrobienne qui réduisent les infections dans les hôpitaux et les cliniques médicales, explique M. Osborn. Ondine veut maintenant miser sur la puissance antivirale de la photodésinfection, et ainsi évaluer l’incidence sur le retard de l’apparition des infections à la COVID-19 et réduire les taux de transmission du SRAS-CoV-2. »

Dirigée par M. Osborn, l’équipe TELUS Capital de risque continue de repérer des entreprises qui produisent des retombées sociales positives grâce à l’innovation et à y investir de façon proactive. Maintenant plus que jamais, les outils de soins virtuels sont essentiels pour les Canadiens. TELUS Capital de risque reste déterminé à fournir un accès universel à des soins de santé de qualité, peu importe le statut socio-économique.

« TELUS Capital de risque a mis sur pied et dirige un groupe d’immunologues, d’experts en maladies infectieuses, de médecins généralistes et de chefs d’entreprise afin de lutter contre la COVID-19, déclare M. Osborn. Ensemble, le groupe explore la validité des tests sérologiques, un type de test qui permet de déterminer si une personne a produit des anticorps en réaction à la COVID-19. »

« Les tests sérologiques joueront un rôle clé dans le retour à la vie normale au Canada, en aidant les responsables des soins de santé à connaître le nombre de personnes qui sont véritablement entrées en contact avec la maladie et à déterminer si les personnes qui la contractent développent une immunité. »

TELUS Capital de risque a conclu 75 ententes depuis sa création en 2001 et est l’un des plus anciens fonds de capital de risque au Canada. « Notre portefeuille compte 30 sociétés partout dans le monde, notamment au Canada, aux États-Unis, en Asie, en Europe et en Israël », ajoute M. Osborn. Avant de se joindre à TELUS Capital de risque en 2016, M. Osborn était fondateur et associé directeur du fonds d’investissement RecapHealth Ventures, un acteur canadien du secteur des investissements dans les sociétés de santé nord-américaines. Avant de fonder la société, il était associé au sein de la société d’investissement privé Second City Capital Partners, faisant l’acquisition de participations majoritaires dans des moyennes entreprises de premier plan.

M. Osborn a cofondé un fonds de capital de risque bénéficiant d’un soutien institutionnel et cogéré deux fonds de la Banque de développement du Canada (BDC) avec d’autres associés externes. Il a commencé sa carrière dans le secteur des technologies comme un des premiers employés de Multactive, une entreprise qui a créé un produit de gestion des relations avec la clientèle de première génération appelé Maximizer.

M. Osborn a fondé l’un des premiers fonds à vocation sociale au Canada, BC Social Venture Partners, et agit à titre de conseiller auprès d’un fonds de microfinancement international et de plusieurs fonds à vocation sociale canadiens. Il est titulaire d’un baccalauréat de l’Université Queen’s et d’une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’Université de la Colombie-Britannique.