Aidez le Canada à devenir un champion de l’action climatique grâce aux politiques numériques

Le Canada peut devenir un chef de file mondial dans la lutte contre les changements climatiques. Les politiques numériques adéquates permettent d’offrir des connexions et des innovations favorisant le télétravail et l’accès aux soins de santé virtuels. Ces politiques contribuent aussi à la réduction des émissions de carbone au pays.

Découvrez la science et les faits – sachez pourquoi des politiques numériques musclées doivent immédiatement faire partie du plan d’action climatique du Canada.

Des politiques numériques musclées offrent une occasion de mener la lutte contre les changements climatiques

La connectivité et l’innovation peuvent aider les Canadiens à réduire leur empreinte de carbone et à devenir carboneutres plus rapidement.

Apprenez-en plus et exposez les faits

Les rapports ci-dessous décrivent les effets positifs qu’une politique sur le numérique peut avoir sur la crise climatique. Seulement en Anglais.

Le rôle de la 5G dans la lutte contre la crise climatique

Selon un rapport d’Accenture, la 5G peut contribuer à réduire de 20 % les émissions de GES. Qui plus est, les technologies mobiles peuvent aider le Canada à atteindre, d’ici 2025, jusqu’à 23 % de sa cible de réduction des émissions d’ici 2030.

Les réseaux mobiles à large bande réduisent les émissions de CO2

Une étude élaborée pour la conférence européenne de l’association International Telecommunications Society a révélé qu’en moyenne, une augmentation de 10 % de la pénétration du réseau mobile à large bande entraîne une réduction de 7 % des émissions de CO2 par habitant. Cela démontre que les investissements dans l’infrastructure de réseau mobile sur le long terme peuvent contribuer à atténuer les changements climatiques.

Les technologies mobiles peuvent réduire les émissions de carbone

Selon un nouveau rapport de la GSMA, les technologies mobiles peuvent contribuer à une réduction des émissions de carbone de 10 fois supérieure à l’empreinte carbone des réseaux mobiles eux-mêmes.

La 5G réduit la consommation d’énergie en comparaison de la 4G

Selon le rapport de la firme Deetken, la 5G devrait réduire la consommation d’énergie par bit de données consommées de 85 % à 90 % par rapport à la 4G.

Le secteur des télécommunications soutient la lutte contre les changements climatiques

À partir de 2022, Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISDE) a lancé une consultation de quatre ans sur la politique en matière de spectre et entend poursuivre des recherches jusqu’en 2026 sur les façons dont les technologies 5G contribuent à réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Facteur politique

Selon le rapport de FarrPoint, en mettant fin à la spéculation sur le spectre, le Canada pourrait combler de 40 à 60 % de l’écart le séparant des cibles établies par l’Accord de Paris.

Une politique sur le numérique est une politique climatique

Selon un nouveau rapport de FarrPoint, l’utilisation de réseaux mobiles et filaires peut réduire les gaz à effet de serre de 15 à 20 % à l’échelle mondiale, soit l’équivalent des émissions de tous les systèmes de transport du monde.

Briser le cercle

Selon le rapport de la Global e-Sustainability Initiative, le secteur des télécommunications peut contribuer à maintenir les émissions mondiales de CO2 au niveau de 2015, déboulonnant le schéma traditionnel selon lequel chaque 1 % de croissance du PIB correspond à une augmentation de 0,5 % des émissions de CO2.

Réduction des émissions de GES

Le rapport de l’Union internationale des télécommunications, une agence des Nations unies, nous informe que, selon les recherches, les technologies de communication ont le potentiel de permettre jusqu’à un tiers de la première réduction de moitié des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici à 2030.

Des réductions de CO2 de la taille de la Grèce

Selon une étude réalisée entre 2002 et 2019 par EcoAustria, les connexions à large bande de base et par fibre optique ont contribué à réduire les émissions de CO2 dans la plupart des pays de l’OCDE d’au moins 67 millions de tonnes, soit à peu près le total des émissions annuelles de CO2 d’un pays de l’OCDE de la taille de la Grèce.

Des histoires qui nous unissent

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